Depuis l’accident de Fukushima, le 11 mars 2011, la place de l’énergie nucléaire a été remise en cause dans le monde entier. Le renforcement de la sûreté des installations nucléaires civiles est devenu une priorité d’autant plus indiscutable que les pays dotés de centrales sont soumis aux regards des instances de contrôle internationales et nationales et des autres pays.
Au terme d’un apparent paradoxe, la plupart des pays d’Europe centrale et orientale, pourtant fortement traumatisés par l’accident de Tchernobyl (1986), n’évoquent pas une sortie du nucléaire mais semblent, dans leur majorité, maintenir des stratégies énergétiques plutôt favorables à cette filière.
- Nucléaire civil à l'Est : malgré Fukushima, par Céline Bayou
Loin de Fukushima
- Géopolitique du nucléaire civil dans la région de la mer Baltique, par Anaïs Marin
- La Pologne mise sur l’énergie nucléaire pour 2020, par Virginie Wojtkowski
- Kazakhstan : l’impact de Fukushima sur le partenariat avec la France, par Sabrine Balim
- Dimitrovgrad, pilier de la recherche nucléaire russe, par Florian Vidal
L’ombre de Moscou
- Russie : l’arme commerciale du nucléaire, par Florian Vidal
- Le nucléaire tchèque : francais de cœur, russe de raison, par Céline Bayou
- Bulgarie : Bélé-«Né» à l’atome, par Assen Slim
- L’option nucléaire en régime autoritaire : la centrale d’Astravets au Bélarus, par Horia-Victor Lefter & Anaïs Marin
Changer le monde
- Liquidateurs de Tchernobyl en Ukraine : du sacrifice à l’oubli, par Sébastien Gobert
- L’avenir énergétique de la Pologne : nucléaire versus énergies renouvelables ?, par Marylise Bougaret
- Kazakhstan : un futur nucléaire ou renouvelable ?, par D.S.Martel
- L’inutile roulette nucléaire des Peco ? L’alternative négaWatt, par Alain Nirets
Photographie en vignette : Centrale nucléaire de Dukovany (République tchèque). © www.cez.cz